Nous assistons à une transformation des relations producteurs / transformateurs / distributeurs / consommateurs, dictée par l’évolution des comportements individuels des consommateurs et par la volonté de toujours mieux connaître les conditions de production, les formules alimentaires, les usages. Le digital permet aujourd’hui au plus grand nombre l’accès à plus d’informations, à de nouvelles pratiques, à de nouveaux services. Paradoxalement, cela conduit au développement de relations plus proches et plus complètes avec le consommateur, sans contrainte de proximité et permet d’accompagner ou de générer de nouvelles habitudes de consommation.

Nous observons cette évolution dans de nombreux secteurs d’activité, les services à la personne, le transport, etc. L’agroalimentaire et la distribution alimentaire doivent s’engager sur la route du Web 3.0. C’est le Web de la connaissance en attendant sa prochaine évolution, celui de l’intelligence.